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Entre autoritarisme et chaos

Effondrement ? Vous avez dit effondrement ?

27 juin 2020

Comment ne pas remarquer l’inquiétant silence de nos dirigeants face à la crise sécuritaire actuelle ?

D’un côté, les policiers manifestent de plus en plus ouvertement (et illégalement) leur colère de ne plus pouvoir exercer leur métier de maintien de l’ordre. Ils n’en peuvent plus d’être intimidés et diffamés en permanence par les voyous et leurs amis gauchistes.

De l’autre, lesdits voyous et gauchistes manifestent et agissent (tout aussi illégalement) pour insulter nos institutions, notre mémoire historique, et réclamer davantage encore d’impunité pour leurs méfaits.

Et au milieu de cette crise gravissime, les dirigeants de l’Etat ne disent rien. Rien du tout.

Ils préfèrent se préoccuper exclusivement du fonctionnement formel, au jour le jour, d’une pseudo-démocratie qui désormais tourne à vide : volte de lois inapplicables, remaniement qui ne passionne que ceux qui y participent, rapports bidonnés et plans d’action sans actions, etc.

Coincés entre le marteau et l’enclume, ils ont par contre trop peur, s’ils disaient un seul mot de travers sur la brûlante question sécuritaire, de susciter une explosion de colère des policiers ou une explosion de violence des banlieues sécessionnistes.

Bref, derrière le décorum médiatisé des cérémonies bien proprettes, l’Etat montre son incapacité à assurer l’ordre et la sécurité dans notre pays. A ce rythme, il ne régnera désormais plus que sur le cour des Invalides, et encore, à condition d’y déboulonner quelques statues de grands militaires qui n’auront pas l’heur de plaire aux nouveaux chasseurs de sorcières anti-racistes.

Effondrement ? Vous avez dit effondrement ?

Effondrement ? Vous avez dit effondrement ?

27 juin 2020

Comment ne pas remarquer l’inquiétant silence de nos dirigeants face à la crise sécuritaire actuelle ?

D’un côté, les policiers manifestent de plus en plus ouvertement (et illégalement) leur colère de ne plus pouvoir exercer leur métier de maintien de l’ordre. Ils n’en peuvent plus d’être intimidés et diffamés en permanence par les voyous et leurs amis gauchistes.

De l’autre, lesdits voyous et gauchistes manifestent et agissent (tout aussi illégalement) pour insulter nos institutions, notre mémoire historique, et réclamer davantage encore d’impunité pour leurs méfaits.

Et au milieu de cette crise gravissime, les dirigeants de l’Etat ne disent rien. Rien du tout.

Ils préfèrent se préoccuper exclusivement du fonctionnement formel, au jour le jour, d’une pseudo-démocratie qui désormais tourne à vide : volte de lois inapplicables, remaniement qui ne passionne que ceux qui y participent, rapports bidonnés et plans d’action sans actions, etc.

Coincés entre le marteau et l’enclume, ils ont par contre trop peur, s’ils disaient un seul mot de travers sur la brûlante question sécuritaire, de susciter une explosion de colère des policiers ou une explosion de violence des banlieues sécessionnistes.

Bref, derrière le décorum médiatisé des cérémonies bien proprettes, l’Etat montre son incapacité à assurer l’ordre et la sécurité dans notre pays. A ce rythme, il ne régnera désormais plus que sur le cour des Invalides, et encore, à condition d’y déboulonner quelques statues de grands militaires qui n’auront pas l’heur de plaire aux nouveaux chasseurs de sorcières anti-racistes.

Effondrement ? Vous avez dit effondrement ?

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