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Entre progressisme et populisme

Répression du mouvement patriote : au-delà du tolérable

Nous assistons aujourd’hui en France à une répression tous azimuth du mouvement conservateur patriote, ainsi que de tous les libre-penseurs opposés à la subversion multiculturaliste qui sape les fondements même de notre société et de notre civilisation :

– Poursuite judiciaires, sous des prétextes plus ou moins fallacieux, contre les partis patriotes (RN), pouvant éventuellement conduire à leur disparition pure et simple sous le coup de très lourdes sanctions financières : une manière commode de liquider la principale force d’opposition au régime libéral-gauchiste actuellement au pouvoir en montant en épingle des irrégularités en fait assez secondaires dans la gestion des comptes de campagne ou les fonctions des attachés parlementaires européens.

– Judiciarisation de la vie politique avec la criminalisation systématique des propos des élus patriotes, sous des prétextes souvent ineptes, comme l’absurde procès intenté à Marine le Pen pour apologie du terrorisme après qu’elle ait diffusé sur Twitter des photos des exactions de Daesh (et ce n’est là qu’un exemple parmi beaucoup d’autres).

– Censure de plus en plus agressive contre les polémistes et journalistes dont les propos enfreignent la « Doxa » du politiquement correct : kyrielles de procès et d’exclusions professionnelles s’abattant contre Eric Zemmour, coupable d’avoir simplement ouvert le débat sur la question de l’immigration et de l’islamisme ; persécution systématique d’Alain Finkelkraut ; scandaleuse condamnation de Renaud Camus..

– Scandaleuse partialité de la justice, qui condamne à de lourdes peines des militants patriotes (Génération identitaire) ou anti-multiculturalistes (manif anti-militants LGBT de Nantes) pour des actes la plupart du temps moins graves que ceux commis par des gauchistes ou des extrémistes écolos (blocages et séquestrations diverses organisées par Extinction Rébellion) qui ne font eux, l’objet d’aucune poursuite.

– Intimidations physiques et voie de faits contre des élus patriotes (agression contre Yoann Gillet à Nîmes) ou contre des militants anti-islamistes (innombrables menaces de mort et insultes contre Zineb el Rhazoui).

– Lourd climat de censure idéologique imposé dans les universités par les partisans des thèses multiculturalistes et néo-féministes (spectacles interrompus, conférences et débats annulés, enseignants persécutés sous les prétextes les plus malhonnêtes et parfois simplement grotesques : Les Suppliantes d’Eschylle, Sylviane Agacinski, Mohammed Sifaoui, … (notons au passage que les cibles privilégiées de ces soi-disant militants antiracistes sont des polémistes et des intellectuels d’origine juive et musulmane).

– Stratégie d’étranglement financier mise en œuvre contre les médias et les sites web accueillant une pensée non conforme la doxa multiculturaliste (chantage et intimidations diverses des « Sleeping giants » contre les annonceurs finançant les médias patriotes, de Cnews à Boulevard Voltaire).

– Tentative de mise au pas des réseaux sociaux, dernier refuge de la libre expression patriote face à la propagande des médias libéraux-gauchistes aux mains du pouvoir politique et des puissances d’argent, par le vote de loi liberticides comme la future loi Avia sur la « haine en ligne »

– Répression policière et judiciaire violente contre les mouvements de protestation populaire, comme en témoigne le nombre vertigineux d’arrestations et de condamnations souvent disproportionnées (plusieurs mois de prison ferme pour un partage facebook, etc.) à l’encontre des « Gilets jaunes ».

Tout cela fait vraiment peur pour la démocratie !! Et nous convainc que les soi-disant progressistes » d’aujourd’hui (multicul, diversitaires, écolos et autres) n’ont en fait rien oublié, en matière d’intolérance et de répression des opposants, de la matrice communiste dont ils sont lointainement issus .

Pour autant cette répression ne fait que renforcer davantage dans ses convictions et sa dynamique politique le mouvement patriote-conservateur : poussée électorale ne se démentant pas d’un scrutin à l’autre, regain du militantisme (manifestations contre la loi bioéthique), audience de plus en plus forte des médias accueillant les thèses patriotes, large diffusion de celles-ci sur les réseaux sociaux encore à peu près libres, etc. Et le moment n’est peut-être pas si éloigné, où, devenus majoritaires malgré la répression des néo-fascistes rouges-verts, ils pourront enfin arriver au pouvoir et remettre sur ses pieds une France que les délires du gauchisme culturel font un peu trop marcher sur la tête depuis quelques temps.

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