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Mémoires de danse

Les jardins de Genève : un lieu propice à l’amour

Par Fabrice Hatem

anperle1n Ceux qui connaissent Genéve savent que l’atmosphère de cette ville se prète merveilleusement, pendant la période estivale, à éclosion du sentiment amoureux par le contact des corps et des âmes.

A partir du mois de juin, en effet, la ville de Calvin prend l’aspect d’un grand jardin arboré, doucement alangui autour des eaux calmes et scintillantes du lac Léman, et où la lumière du soleil et du ciel invite à la flânerie, au plaisir de vivre, et, finalement, à l’amour. Vers Thonon, le parc des Eaux Vives étend ses pelouses spacieuses autour du port de plaisance. En se rapprochant du centre ville, on traverse le Jardin anglais, de plus petite taille, mais où de superbes arbres offrent un ombre bienvenue à celui qui désire s’asseoir un moment pour contempler la rade scintillante.anperl4

Une fois traversé le pont du Mont-Blanc – avec bien sur un arrêt vers la petite île Jean-Jacques Rousseau, on remonte le quai Wilson, qui borde longuement le lac et ses débarcadères. Avec un peu de chance, on pourra s’embarquer là pour une croisière sur l’un des derniers bateaux à aube encore en service.

anperle3n On débouche ensuite sur les pentes en douceur du parc Mon repos, où un grand belvédère offre un point de vue magnifique sur le lac, et plus loin sur les Alpes. Tout cela, fort bien entretenu, ouvert au public nuit et jour, offre un cadre propice à la flânerie, bien sûr, mais surtout à l’éclosion du sentiment amoureux.

ansalsa A l’intérieur de la ville, d’autres grands parcs, comme le Parc des Bastions ou le Parc Bertrand, offrent également un cadre accueillant à toutes sortes d’activités estivales, depuis le jogging du matin jusqu’au stage de salsa en début de soirée, sans oublier le pique-nique du midi et la sieste de l’après-midi. Pour celui qui souhaite s’éloigner de la ville pour randonner en pleine nature, rien de plus facile : un bus conduit directement de la gare Cornavin au téléphérique du Salève. On se trouve alors transporté, en quelques minutes, sur un plateau d’alpage, au milieu des pâturages et des bois.

general publi3 Ces jardins font également le bonheur des danseurs et tout particulièrement des tangueros, qui peuvent y pratiquer leur passion trois ou quatre fois par semaine, à partir du mois de juin jusqu’en septembre, dans l’un de ces accueillants îlots de nature plantés au cœur même de la ville. Et c’est bien le diable, si, au bout de quelques semaines, de tendres promenades nocturnes d’après-milonga ne se sont pas conclues par un baiser et par la formation d’un nouveau couple.

ananglais2 C’est une histoire comme celles-là que nous avons inventée pour vous, une histoire toute simple destinée à vous faire goûter la fraîcheur de ces lieux, et aussi pour vous montrer qu’en été, le bonheur à Genève est là, tout près, tout près… Une histoire que nous vous offrons comme une invitation à l’optimisme et au bonheur. Une histoire aussi, qui, toute entière contenu dans une seule semaine du mois d’août, permet de suivre le calendrier des pérégrinations tangueras à cette période de l’année. Pour lire cette histoire, cliquez sur le lien suivant : un mariage d’amour à Genève.

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